Kozan, Genève

Ouvert en 2017, le Kozan est l’un de mes restaurants japonais favoris à Genève, probablement même de Suisse Romande. Propriétaire et également chef, Hiroshi Machida avec plus de 20 ans d’expérience, propose des sushis traditionnels avec sa petite touche personnelle. Son épouse Makiko, oeuvre en cuisine. C’est une adresse que je conseille vivement à tous ceux qui cherchent des sushis de qualité.

Le restaurant est situé dans le quartier des Grottes, à cinq petites minutes à pied derrière de la gare de Cornavin, très pratique si on vient en train, bus ou à pieds, mais en voiture, le parking de la gare de Cornavin est le choix le plus sûr, à moins de vouloir tenter sa chance dans les rues aux alentours.

L’établissement est assez petit, cinq places au comptoir, une salle principale climatisée et une petite pièce, une trentaine de couverts, quarante, tout au plus avec une terrasse ombragée sur le trottoir de 16 places, pas très glamour, mais c’est mieux que rien. Un cadre simple à la japonaise, des tons clairs, un mobilier en bois, des tables dressées très simplement. Ils sont ouverts du mardi au samedi, fermés les dimanches et les lundis. Horaires coupés. Vente à l’emporter.

La carte axée très sushis & sashimis, grand choix d’entrées, quelques plats principaux. Belle variété de poisson et crustacés, des propositions folles (wagyu, caviar, botan ebi, natto).

Exemples de prix :
– edamame (8 chf)
– poulet teriyaki (34 chf
– thé vert froid 3 dl. (5 chf)
– thé vert, tasse (4 chf)
– café (4 chf)

Dans une ville où les restaurants japonais pullulent dans tous les coins et malgré des prix assez élevés, ils ont réussi en quelques années à se faire une très bonne réputation auprès d’une clientèle exigeante. C’est souvent plein, il vaut mieux réserver ou venir tôt.

J’aime beaucoup les sushis du Kozan, car les nigiris sont petits et légers avec la petite touche personnelle du chef quand il ne croule pas sous les commandes. Comme le riz n’est pas trop serré, il faut un peu de dextérité lors de la manipulation et surtout éviter de trop les tremper dans la sauce soja.

Je ne conseille pas trop le gunkan super luxe au wagyu, oursin et caviar, un mélange qui se marie mal, vaut mieux les manger séparement.

Kozan
Rue Jean-Jacques-de-Sellon 7
1201 Genève
+41 22 740 30 80
www.kozan-geneve.ch

Crédit photo : foodaholic

 Repas du 21 février 2023

Mardi, 12 heures, à deux avec réservation.

Mon dernier repas au Kozan datait de septembre 2022. C’est toujours aussi fréquenté, il n’est pas facile d’obtenir une table à midi à la dernière minute. Les sushis étaient toujours aussi bons, fins, légers, de très bonne qualité. Un service jeune et sympathique, il faut aimer le style « détendu ». Le Kozan reste pour moi l’un des tops japonais de Genève.

Les brochettes de poulet (14 chf) au wasabi étaient délicieuses, ils sont les seuls à les proposer de cette facon. La qualité du thon gras dans le negitoromaki (16 chf) était très bonne. Le takokara (19 chf), des bouchées de poulpe frits bien croustillantes, tendres et légères. Le gourmand mais onéreux ika uni (20 chf), de la seiche coupée en spaghetti mélangé avec du corail d’oursin.

On ne le trouve pas partout, on profite du crabe mou en uramaki (21 chf). Je n’oublie pas mon nigiri favori, le maquereau mariné (9 chf), sans oublier quelques classiques, comme la daurade (10 chf), le loup de mer (10 chf), l’anguille (12 chf) ou le saumon saisi (11 chf). Un peu déçu de la seiche (9 chf), je préfère la version du Myo Sushi Bar à Lausanne qui est coupée de façon plus épaisse.

Kozan, Genève
Kozan, Genève
Kozan, Genève
Kozan, Genève
Kozan, Genève
Kozan, Genève

13 septembre 2022

Il y a en ce moment à Genève, beaucoup de chamboulements concernant les restaurants japonais. La fermeture du Sauan, le Kakinuma qui n’accueille plus de clients le soir, l’Izumi qui ne renouvelle plus sa « licence Nobu » dont le chef va aller au Sachi du Mandarin Oriental, sans compter le projet Gaku.

Mardi midi, seul, sans réservation, peu avant midi. Il y avait déjà pas mal de monde, il ne me restait que la petite salle au fond, le bar ou la terrasse. Comme à mon habitude, j’ai choisi le bar, rien de plus plaisant que de voir le chef à l’oeuvre, surtout quand on mange seul.

Comme souvent, j’ai fait une première commande histoire de jauger la qualité des poisons du jour, car ce qui est magique avec les sushis, nous pouvons manger à chaque fois les mêmes poissons sans qu’ils soient la même chose, car les goûts et surtout la texture peuvent changer.

Comme la daurade que j’ai mangée une fois était fabuleuse, la dernière, elle était assez commune et aujourd’hui il n’y en a pas.

Les brochettes de poulet (14 chf) au wasabi étaient délicieuses, la viande était tendre et moelleuse, le wasabi et l’ail donnent un bon coup de fouet sans arracher le nez. Pas de daurade disponible aujourd’hui, j’ai donc pris du loup de mer (10 chf) à la place qui était bon, gras, mais une chaire un peu molle. La sériole (15 chf) était bonne aussi, mais sa chair était aussi molle. Pareil pour la seiche (9 chf), bon goût, mais aussi mou. Dommage. j’aime bien quand le poisson est un peu ferme sous la dent. Le saumon grillé (10 chf) était bon, fondant et parfumé. Le maquereau (9 chf) était excellent, lisse et fondant, légèrement acidulé, c’est vraiment l’un des poissons que j’adore le plus chez eux, le Kozan a vraiment la meilleure recette.

Kozan, Genève
Kozan, Genève
Kozan, Genève

20 mai 2022

J’ai débarqué du train à Cornavin un jeudi soir à 18h50, sans réservation nulle part, le premier restaurant japonais appelé était complet, mais heureusement, il y avait encore de la place au Kozan.

Arrivé au restaurant, il n’y avait que le chef, ne parlant pas bien le français et soucieux de l’accueil, il est vite allé chercher quelqu’un, ah si je pouvais parler japonais. L’accueil était sympathique, souriant, je pouvais choisir une place en salle ou au bar, le comptoir évidemment, par contre les tabourets sont assez bas par rapport à la hauteur du comptoir. Durant la soirée, trois personnes en salle, un service souriant et convivial, deux en cuisine et le chef Machida derrière son comptoir à faire les sushis.

Il était à peine 19 heures, que le chef Machida était déjà pleinement occupé par des commandes à l’emporter.

Petite mise en bouche pour commencer. Du saumon frit dans une petite sauce aigre-douce, servi froid, un classique.

Arrive en premier une paire de brochettes de poulet au wasabi (12 chf), sakiyabi en japonais. J’adore ces brochettes, elles étaient tendres, nappées d’une sauce sucrée légèrement épaisse et recouvertes surtout de racine de wasabi hachée, juste ce qu’il faut pour chatouiller les narines.

Kozan, Genève

Puis arrivent les sushis, par paires lors de la commande. Un peu au compte goûte quand on est assis au comptoir. Dans l’ensemble, ils étaient tous très bons, celui à la daurade était ce soir au-dessus des autres, tandis que celui au thon gras un peu en-dessous.

Les nigiris à la seiche (9 chf) avaient une chair ferme au début qui requiert un peu de « mâchouiller » pour développer son goût. « customisé » avec une feuille de shiso et un coulis d’umeboshi. À éviter si vous n’aimez pas les textures visqueuses.

Les nigiris à la daurade (9 chf) étaient incroyables, excellents. Un poisson plein de significations au Japon. La chair était souple et ferme, goûtu, j’ai été agréablement surpris. Je le choisis rarement, car la daurade ou le loup de mer que j’ai pu manger dans le passé étaient souvent peu intéressants. Si la qualité au Kozan reste constante, je vais le prendre beaucoup plus souvent.

Kozan, Genève

Les nigiris au maquereau mariné (9 chf) avaient une chair fondante, lisse, légèrement acidulée et douce, garnis d’une petite algue marinée légèrement croquante. Qualité constante, vraiment top.

Kozan, Genève

Les nigiris au thon gras (20 chf) étaient aujourd’hui corrects, satisfaisants. Le thon était fondant et goûtu, bien coupé dans le sens de la membrane, mais on sentait quand même un peu de nerfs en bouche.

Les makis thon gras et ciboulette (15 chf) étaient bien garnis, on y sentait bien le thon et la ciboulette, un thon fondant et goûtu. Puisqu’il est haché, les quelques nerfs possibles passent inaperçus.

Les nigiris au saumon flambé (10 chf) étaient fondants, garnis d’un topping amer et piquant, de l’ail râpé peut-être ?

Kozan, Genève

Les nigiris anguille (12 chf) étaient servis chauds, une tranche épaisse, gélatineux, un mélange de texture souple, élastique et ferme. Quand c’est réussi, c’est vraiment un délice.

L’omelette (8 chf) en format izakaya, sans riz, était bonne, spongieuse, pas trop sucrée.

Kozan, Genève

La boule de sorbet citron et gingembre (8 chf) était bonne, goût équilibré, on sentait bien les deux ingrédients, assez sucré quand même, mais son prix fait un peu mal au cul. Pas trop le choix, après un copieux repas, j’aime finir sur un truc bien froid, glacé et si possible acide.

6 mai 2022

Sortant d’un autre restaurant japonais, mais qui n’était pas trop à mon goût, j’ai décidé de finir mon repas au Kozan, car assez proche, à 13h15, je n’avais pas énormément de choix.

Je suis arrivé à l’improviste, il restait encore de la place au bar. Ayant déjà mangé un peu, je mangerais moins, mais je vais me faire plaisir en testant des sushis un peu fous.

Les nigiris botan ebi (30 chf) étaient une première pour moi. C’était bon et fin, bien en chair, de couleur blanche, un peu rouge et translucide comme si elle était cuite, mais elle est bien crue. Garni d’oeufs de poisson volant. Attention, une grosse crevette crue, comme ça, peut s’avérer un peu écoeurant.

Kozan, Genève

Les gunkans au wagyu, oursin et caviar (80 chf) sont la proposition la plus luxueuse, mais dommage, ce n’est pas réussi, ça ne se marie simplement pas bien. À peine servie, j’ai fait l’erreur de sauter dessus, le caviar venait de sortir du frigo, donc trop froid, ses saveurs étaient atténuées. Le wagyu, flambé, était très fondant, mais l’oursin masquait son goût, ainsi que celui du caviar. Au final, une bouchée onctueuse au goût d’oursin, un peu cher payé pour cette expérience. Puis si on laisse au caviar se réchauffer pour gagner plus de saveur, le wagyu qui est flambé, refroidit et perd en qualité.

Kozan, Genève

Les nigiris au maquereau mariné (9 chf) étaient toujours aussi bons, fondant, d’une qualité constante, parmi les meilleurs que j’ai pu trouver.

Kozan, Genève

Les makis au thon gras et ciboulette (15 chf) étaient, délicieux, bien garnis, on y sentait bien le goût du thon.

Kozan, Genève

Les brochettes de poulet au wasabi (12 chf) étaient bonnes, bien grillées, tendres, douces, légèrement grasses, ce qu’il faut de piquant pour titiller le nez.

Kozan, Genève
Kozan, Genève
Kozan, Genève
Kozan, Genève

Mokhaao Thaï Food, Morges

Premier repas au Mokhaao Thaï Food, un restaurant thaïlandais qui a ouvert fin 2021 à Morges et qui est situé juste en face de la gare. Il a des similitudes avec le Mokeang Thaï Food à Penthalaz, peut-être les mêmes personnes.

L’établissement n’est pas très grand, mais compte environ une quarantaine de couverts, sans compter ceux de la terrasse. C’est plus un fast-food en self-service qu’un restaurant. Le cadre est lumineux, un côté industriel brut, simple et pas cher faisant relativement tendance et sympa, un style choisi par beaucoup ces dernères années. Une ambiance animée, sympathique mais c’est serré et vite bruyant, une clientèle de tout horizon. Il est ouvert tous les jours de 10h à 22h.

La carte est passablement bien étoffée, ressemblant aux cartes asiatiques avec de longues listes de viandes et de sauces, offrant pleins de combinaisons. Des prix attractifs, attention à la différence de prix entre le sur place et le site web qui sont moins chers et destiné pour les commandes à l’emporter.

Exemples de prix :
– brochettes de poulet, 3 pces. (7 chf)
– pad Takraï poulet, riz  (19 chf)
– riz nature (4 chf)
– Coca-Cola 50 cl. (4 chf)

23 février 2023.

Jeudi, 13h30, en solo, sans réservation.

Self-service, on passe commande au comptoir, on se sert soi-même de quoi mettre sa table et on s’installe où l’on souhaite. Les plats sont apportés lorsqu’ils sont prêts. Pas vraiment de service en salle, mise à part la personne qui débarrasse les tables et les nettoies. 

J’ai craqué pour les ailes de poulet (8 chf) frites. Il devait y en avoir quatre, mais j’en ai eu six, peut-être parce qu’ils étaient petites ? En tout cas, elles étaient assez bonnes, tendres, légèrement parfumées, servie sur une feuille de salade un pot de sauce aigre-douce assez liquide.

Ensuite, je me suis laissé tenter par du boeuf frit (13 chf). Servi avec une sauce aigre-douce, la même qu’avec les ailes de poulet, pas vraiment à mon goût, c’était assez sec.

L’omelette au porc haché et légumes (16 chf) avec riz nature inclu était pas mal, assez bon, assez gras aussi.

Makhaao Thai Food, Morges
Makhaao Thai Food, Morges
Mokhaao Thai Food, Morges

Pour résumer, la carte m’a fait beaucoup envie à la lecture, de plus les prix sont assez abordables, c’est ouvert non-stop, en face d’une gare, le Mokhaao Thaï Food a de nombreux bons points, mais la cuisine reste malheureusement sans plus, de correcte et satsfaisante à parfois bonne, Dommage, il manque quelques choses.

J’ai bien aimé l’ambiance joyeuse de l’équipe composée uniquement de femmes que je pouvais entendre rires depuis le fond de la salle, mais cela me fais aussi penser à l’actualité où on n’arrête pas de parler de parité, une équipe 100% hommes aurait probablement soulever des problèmes, mais l’inverse passe beaucoup mieux.

2 entrées, 1 plat, 1 minérale PET : ~40 francs pour 1 personne.

Mokhaao Thaï Food
Rue de la Gare 32
1110 Morges
+41 21 349 98 98
www.mokhaao.ch

Crédit photo : foodaholic

Coup de Soleil, Lausanne

L’hôtel de La Paix à Lausanne est un établissement 4* inauguré en 1910. Son restaurant propose une cuisine gastronomique, de style français, anciennement appelé La Paix a changé de nom depuis sa rénovation durant l’été 2022 pour un petit rafraîchissement. Renommé en Coup de Soleil c’est plus coloré mais ça n’a pas pronfondement changé, de plus la transition a pris un certain temps, c’était un peu confu. Il est situé en plein centre-ville, à deux pas de la Place Saint-François, bus à cinq minutes, métro et train à dix minutes. Le parking de Bellefontaine (payant) est juste en face de l’hôtel.

L’établissement propose également un espace lounge, un bar et une terrasse. Le restaurant a déjà été rénové une fois en 2004, mais je n’ai aucun souvenir de la décoration d’avant, même si je passais très souvent devant quand j’étais adolescent, les restaurants ce n’était pas mon truc encore, mon premier repas chez eux doit dater de 2010 à 2015.

Le cadre est élégant et lumineux. Grands volumes, baies vitrées, superbe vue panoramique, des tons blancs marbre, dorés et jaunes pâle. L’ambiance fait assez chic depuis l’extérieur, mais c’est au final assez décontracté. Le restaurant est ouvert tous les jours avec des horaires continus.

La carte propose une cuisine de terroir privilégiant les produits de la région. Des prix relativement élevés tout en restant dans la moyenne des établissements de ce type.

Exemples de prix :
– planchette Swiss style (28 chf)
– poisson du marché (45 chf)
– dessert du jour (14 chf)
– eau filtrée 50 cl. (5 chf)
– Coca Cola 33 cl. (6 chf)
– café (4.20 chf)

Coup de Soleil
Hôtel de la Paix
Avenue benjamin-Constant 5
1003 Lausanne
+41 21 310 71 71
www.hoteldelapaix.net

Crédit photo : foodaholic

14 février 2023.

Mardi, 13h00, en solo et sans réservation

j’étais parti pour tester le vietnamien sur Beau-Séjour, mais arrivé sur place, l’ambiance triste ne me faisait plus envie et ni la carte du Chat Noir ou de Chez Jacques ne m’ont fait envie, mais quand j’ai vu la nouvelle carte du Coup de Soleil avec du pigeon, tartare et carpaccio, je n’ai pas hésité.

J’ai bien aimé le service, discret, rapide, attentionné.

Pour débuter, une sorte de coulis en amuse bouche.

En entrée, un Carpaccio de Saint-Jacques (28 chf) aux agrumes et julienne de radis colorés. Le carpaccio était bon, frais et gourmand. Niveau prix, c’est assez cher payer, car bien que la noix de Saint-Jacques est un produit plutôt onéreux, il n’y a pas vraiment de travail, ni de technique dans le plat.

En plat, j’ai pris un Pigeon rôti à la marjolaine (46 chf), risotto aux chanterelles, dentelle de parmesan. Le pigeon était très bien cuit, tendre et juteux, un vrai plaisir. La sauce était corsée et épaisse. Le risotto était très al dente, trop à mon goût, presque croquant.

Coup de Soleil, Lausanne
Coup de Soleil, Lausanne
Coup de Soleil, Lausanne

Pour résumer, c’était très bon, assez onéreux, mais ils font très souvent des offres via TheFork.

1 entrée, 1 plat, 1 minérale : ~80 francs pour une personne.

2 novembre 2022.

Mercredi midi, seul, sans réservation, 13h00. C’était passablement bondé, probablement à cause du Festival TheFork.

Le service était sympathique, ils étaient trois en salle, plus une personne au bar et un manager. C’était rapide, attentionné, pro et décontracté, un style comme j’apprécie.

Pour débuter, un petit amuse bouche composé de lentilles.

Coup de Soleil, Lausanne

En entrée,  un tataki de cerf en vinaigrette de fruits secs au balsamique (27 chf), courge spaghetti à l’huile de noisettes.

Je m’attendais à quelques chose de plus cru, mais c’était pas si mal en fait, la viande était tendre avec un assaisonnement assez vif. acidulé, doux.

Coup de Soleil, Lausanne

Pour suivre, j’ai pris en portion entrée, le tartare de veau à la fleur de sel (28 chf). stracciatella parfumée à l’huile de truffe blanche.

Un plat simple et bon. Le tartare était taillé assez finement, peut-être pas au couteau, car la texture était un peu hachée. La stracciatella était onctueuse, fraîche, juste ce qu’il fallait.

Coup de Soleil, Lausanne

En dessert, poire juteuse reconstituée (15 chf), chutney de fruits secs, glace cannelle.

Il était bon, mais je m’attendais à trouver plus de poire, c’était un dessert assez chocolat.

Coup de Soleil, Lausanne

Pour résumer, un repas gourmand, simple et bon, dommage pour le dessert trop chocolaté à mon goût.

2 entrées, 1 dessert, 2 minérales, 1 café : ~ 85 chf. pour une personne.

Hôtel des Patients, Lausanne

Ouvert en 2016, l’Hôtel des Patients est un établissement plutôt atypique de Lausanne, car c’est un hôtel qui accueil une clientèle tout autant touristique, d’affaire que des patients et leurs familles. Il est situé sur le site hospitalier du CHUV avec un accès rapide et direct en métro au centre-ville, la gare ou Ouchy pour une durée de trajet entre cinq et quinze minutes.

L’établissement est un hôtel 3 étoiles supérieur d’une centaine de chambres divisée en quatre catégories : single, twin, double, supérieure. Il est confortable et spacieux avec du mobilier contemporain, certaines chambres single sont accessibles en fauteuil roulant. En partenariat avec le CHUV, le bâtiment de l’hôtel abrite également divers services du CHUV et possède un centre de soin pour le suivi médial des patients ainsi et il s’occupe aussi de l’organisation des transports pour les examens dans les bâtiments du site hospitalier.

Cette collaboration permet aussi de développer la formation professionnelle proposée par le CHUV, notamment en accueillant des apprentis « Spécialiste en hôtellerie » pour la partie pratique. L’hôtel sert aussi de lieu de formation pour des stagiaires en vue de leur intégration à l’Ecole Hôtelière de Lausanne.

Le restaurant Mill’Feuilles est ouvert à tous, mais le matin, l’espace est réservé aux petits-déjeuner des résidents. Il est ouvert tous les jours, horaires coupés, attention, il ferme le soir assez tôt. En dehors des heures d’ouverture, le bar reste ouvert avec une petite carte de snack.

La carte des mets du restaurant est plutôt variée, complète sans un choix immense. Une carte fixe avec des plats du jour et des suggestions qui changent chaque semaine.

30 janvier au 6 février 2023

Mon aventure hospitalière a commencé à la mi janvier par un passage aux urgences, suivi d’un séjour au CHUV d’environ deux semaines et j’ai atteris à l’Hôtel des Patients pour une durée d’une semaine plutôt agréable, malgré un transfert précipité et un peu mal organisé.

Après avoir passé plus de quinze jours à manger un régime spécial bouilli, mixé et liquide, je ne pouvais que m’en réjouir. Me voilà donc à l’Hôtel des Patients dans une chambre familiale. Dans mes malheurs, j’ai eu un peu de chance, le service où j’étais devait probablement avoir besoin de ma place et il ne restait probablement plus chambre standard à l’Hôtel des Patients. J’imagine que j’ai été surclassé.

La chambre

Les chambres supérieures sont situées aux derniers étages, font entre 33 à 42 m2 et peuvent accueillir jusqu’à quatre personnes. Il me semble avoir eu l’une des plus grande, elle était orientée sud-est avec une terrasse, une chambre avec salon et salle de bain douche et wc. Il y a de gros vis-à-vis, mais la chambre est équipée de stores éléctriques et de rideaux.

Le lit était grand et très confortable, moelleux avec plein de coussins, encore plus en stock. TV, bureau, chaise, canapé-lit, table basse et grande armoire avec coffre fort et sèche cheveux. Wifi gratuit, téléphone avec appel illimité en Suisse, bouilloir avec thés et cafés.

Il y a tout un sytème de commande lumière et store via trois interrupteurs avec chacun six à huit boutons, j’avoue ne pas avoir compris à 100% toute la subtilité et les possibilité qui m’étais permis.

La restauration

Le matin, l’espace restauration est réservé pour le petit-déjeuner des résidents entre 6h30 et 10h00. Il est ouvert à tous, résidents et externes à midi et le soir ainsi que pour un moment de détente l’après-midi.

Comparer à un restaurant traditionnel, le cadre est un peu froid, du genre cantine, mais c’est très lumineux, propre, cuisine ouverte, haut plafond.

Le personnel est très nombreux, un ratio un peu inhabituel du probablement au statu un peu particulier de l’établissement. Le service est sympathique, souriant et attentionné, très à l’écoute des demandes des patients.

Le buffet du matin est composé de produits basiques et classiques, mais il est gourmand et varié, il y a vraiment de tout. Viennoiseries en tout genre, assortiment de fruits, fromages et charcuteries, produits laitiers, jus de fruits et boissons chaudes.

Hôtel des Patiens, Lausanne

La cuisine

Difficile de ne pas faire une comparaison avec les repas du CHUV qui ne sont pas mauvais, mais je déplore une très nette baisse de qualité ces dernières années. Je n’en connais pas la cause, peut-être un changement de structures ou de processus, réduction de personnel ou de budget, c’était pourtant très bon à un certain moment, je le sais, car je mange leurs plateaux régulièrement depuis plus de trente ans.

Par rapport au CHUV, la qualité des repas à l’Hôtel des Patients est bien meilleure, c’est plus plaisant, il y a plus de choix. Ce n’est pas vraiment comparable, nombre de cuisiniers et quantité à cuisiner sont tellement différents, mais même si j’étais plutôt très satisfait au début, plus les jours passaient, plus je trouvais les plats ennuyeux, ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé presque toute la carte.

Un gros bon point, c’est l’équipe qui se plie vraiment en quatre pour satisfaire toutes les allergies et les envies. Pas de ci, pas de ça, comme ci, comme ça, je connais certains établissements avec beaucoup moins de patience. Par-contre, ils font de leur mieux, mais ce qui sort de cuisine n’est pas toujours top.

Il m’est arrivé plusieurs fois de demandé un hamburger sans buns, donc un steak haché avec frites, je l’ai parfois regretté.

Les soins

D’un point de vue confort et cuisine, il n’y a pas de doute, l’Hôtel des Patients remporte haut la main. Concernant les soins, faut avouer qu’il n’est pas des plus pratique selon la situation.

Les soins se font dans un espace dédié et jamais en chambre (sauf exception). Les examens et consultations se font au CHUV ou dans les bâtiments annexes et sur appel, donc un peu à l’improviste, il faut parfois se tenir prêt pour un éventuel appel au dernier moment.

Si l’Hôtel des Patients offre beaucoup de liberté, il faut aussi savoir être minimum indépendant, vous êtes moins assisté, il y a moins d’interactions sociales, vous êtes plus isolé.

Je ne parle pas d’un manque de visites de la famille ou des amis, mais de cette présence passive continue que peut offrir un lit dans un service classique comme son voisin de chambre, l’équipe médicale ou les aides. Ce vas et viens un peu continu, toutes ces présences accumulées aide à se sentir moins seule sans que l’on se rend compte.

Car pour les personnes qui se sentent vite seules, isolées avec un coup de blues, dormir à l’Hôtel des Patients dans un contexte de maladie n’est pas l’idéal, mais si vous aimez la paix, la tranquillité, voire la solitude, c’est plutôt un bon choix.

Hôtel des Patiens, Lausanne

Pour résumer, de ce que j’ai pu voir, c’est un hôtel plus fréquenté par des patients que par des personnes externes, il y a beaucoup de mamans avec leurs bébés et les familles qui vont avec ce qui donne parfois de très grandes tables. J’ai beaucoup aimé le confort et le staff, autant médical qu’hôtelier, mais je pense qu’il m’est difficilement de supporter la cuisine plus de 2 semaines.

Hôtel des Patients
Avenue de la Sallaz 8
1005 Lausanne
+41 21 545 41 11
www.lausanne.hoteldespatients.ch

Crédit photo : foodaholic

Kakinuma, Genève

Le Kakinuma est l’un de mes restaurants japonais de Genève favoris. Il est situé dans le quartier des Eaux-Vives à une vingtaine de minutes à pied depuis la gare de Cornavin. Ouvert en 2006 par Shinya Kakinuma et son épouse Sho, lui aux sushis, elle en salle, ils proposent une cuisine de qualité authentique et traditionnelle.

Malgré une concurrence démentielle sur Genève, le Kakinuma ne désemplit pas, ils ont su au fil des ans, acquérir et garder une excellente réputation et fidéliser leur clientèle. Il est noté 14/20 au Gault & Millau (2022) et est mentionné au Guide Michelin (2022).

La famille Kakinuma possède également d’autres établissements dans le coin : le Temaki Bar (Quai du Mont-Blanc), l’Izakaya qui est fermé depuis un moment et le Gaku au Lion d’Or (Colony) ouvert en attendant l’ouverture de leur nouveau projet Gaku. qui était censé ouvrir en 2022.

Je les ai découverts en 2008, fréquenté régulièrement jusqu’en 2012, puis fait une pause jusqu’en 2022. Je suis agréablement surpris de voir que leurs prix n’ont pas grimpés.

L’établissement est tout petit, serré avec une trentaine de places. Un cadre simple, des tables noires, un sol en carrelage rouge sombre, des murs crème, une lumière tamisée, une ambiance sympathique. Une décoration japonaise légère, sans excès. Un fond musical léger, style jazz, mais inaudible dès qu’il y a du monde. En voiture, il faut parfois être très patient pour trouver une place dans les rues alentour, pour les moins joueurs, le parking de Rive-Centre est une bonne alternative.

Ils sont ouverts du lundi au vendredi, fermés les samedis et les dimanches. Horaires coupés. Depuis août 2022, Dû à certains raisons, ils ne font plus que de la vente à l’emporter le soir.

La carte propose un choix classique de mets japonais. Un joli choix d’entrées et de plats, les nigiris à la pièce sont très pratiques.

Exemples de prix :
– salade d’algues (10 chf)
– poulet teriyaki (28 chf)
– thé vert (6 chf)
– café (5 chf)

Repas du 13 janvier 2023

Vendredi, 12h30, deux personnes avec réservation.

Même plusieurs jours avant, il n’est pas certain d’arriver à réserver pour la date souhaitée, la réservation est maintenant quasi obligatoire sous peine de devoir improviser son repas.

La reprise suite aux vacances de Noël a réservé quelques surprises. C’est toujours fermé le soir, mais la vente à l’emporter reste possible, le choix des mets a diminué et certains prix ont augmenté. Adieu les huîtres panées que j’adorais tant, mais il y a du nouveau comme les tempuras de calamar.

Les brochettes de poulet (13 chf) ont prix un franc de plus, mais sont toujours aussi délicieuses. Une viande tendre et j’adore ce parfum de grill au charbon.

Les tempuras de calamar (20 chf) aux algues aonori c’est assez une tuerie. Des tentacules de calamars fermes et souples, frites dans un enorbage léger et croustillant. Pas facile de dire si c’est meilleur que les huîtres panées.

Assortiment de sushis à la carte. Dans l’ensemble, ils étaient bons, petits, légers, poissons frais et excellents. Maki negitoro (14 chf), nigiri maquereau (5 chf), nigiri calamar (5 chf), nigiri sériole (6 chf).

Ce que j’apprécie particulièrement au Kakinuma sont le service et le choix des nigiris à la pièce.

Kakinuma, Genève
Kakinuma, Genève
Kakinuma, Genève

Repas du 9 juin 2022.

Après ce repas, je confirme que le kakinuma reste l’un de mes restaurants japonais favoris et ce n’est pas que mon avis, car il faut vraiment avoir de la chance pour avoir une table sans réservation. Il vaut mieux réserver un ou deux jours à l’avance pour s’assurer d’avoir une table.

Car j’ai voulu réserver un mercredi pour le soir même, c’était malheureusement complet, ils m’ont proposé une table pour le jour suivant.

Toujours aussi nombreux, quatre personnes en salle, l’accueil était rapide, courtois et décontracté. Le service était rapide, souriant et efficace, la cuisine a bien suivi, peu d’attente, malgré mes quatre commandes durant le repas.

1er round avec quelques sushis à la carte. Chez eux, les nigiris sont à la pièce, très pratique pour tester les poissons du jour sans trop se remplir l’estomac. Maki au thon gras (13 chf), nigiris de thon gras (8 chf), seiche (4 chf), maquereau (4 chf), sériole (6 chf), poisson blanc (5 chf). Ils étaient bons dans l’ensemble. Le thon gras chez eux est relativement « abordable », mais pour le maquereau, je préfère celui du Kozan.

Incontournables, les traditionnelles brochettes de poulet (12 chf) étaient bonnes.

Je ne pouvais pas rater l’occasion de manger à nouveau les huîtres panées (30 chf), car peu de restaurants en proposent et puis comment résister à ces bouchées croustillantes et iodées.

Kakinuma, Genève
Kakinuma, Genève

2e round avec une nouvelle fournée de nigiris, j’ai pu affiné mon choix après la première série. J’ai aussi testé le foie gras poêlé, sauce ponzu (30 chf). Un poil cher, mais bon, j’adore tellement cette odeur, irrésistible. Délicieux avec du riz, seul c’est un peu triste.

Kakinuma, Genève

3e round avec une petite fournée de nigiris au thon gras, quand c’est bon, on ne compte pas. J’ai craqué pour un deuxième service de brochettes de poulet, mais dommage, elles étaient cette fois un peu trop cuites.

Kakinuma, Genève

4ème et le dernier, j’ai finis avec un dorayaki (12 chf) fait maison fourré aux haricots rouges, servi avec une petite boule de glace vanille.

Kakinuma, Genève

Pour résumer, au niveau du prix et du service, je dirais qu’il est au-dessus du Kozan qui n’est pas moins bon, mais différent. Pour la qualité des sushis et de son choix, je préfère par-contre le Kozan.

Repas du 29 avril 2022.

L’accueil était rapide et souriant. Trois personnes en salle, un service très sympathique et décontracté, parfois amical, mais en restant pro. Au moins deux personnes en cuisine et deux personnes au sushis bar, c’était rapide, les plats se sont enchaînés, peut-être un poil trop vite. Addition et encaissement rapides, ce qui n’est pas toujours le cas dans la restauration. Ambiance très animée, c’était plein, beaucoup de tables réservées et les quelques places restantes ne l’ont pas été longtemps.

Le repas débute avec une petite mise en bouche froide à base d’épinards et de sésame, un classique.

Le sashimi de maquereau (20 chf) est l’un de mes plats favoris chez eux. Il est préparé par eux, très fondant, goût équilibré, pas trop acide, ni trop sucré, d’une qualité constante. Accompagné de petites garnitures : wasabi, gingembre rapé, tobiko, shiso, quelques algues, oignons nouveaux ciselés. Habituellement, beaucoup de restaurants le proposent en nigiris, mais en sashimi, c’est plus rare.

Kakinuma, Genève

Le sashimi de seiche (28 chf) était correct, bon. Il était coupé en « nouilles » et servi avec presque les mêmes petites garnitures que le maquereau. Le prix demandé est assez élevé, peut-être qu’en nigiris, c’est plus satisfaisant, sauf si on n’aime pas le riz.

Kakinuma, Genève

Les nigiris étaient très bons, petits, légers, par pièce. Le thon gras (8 chf) était beau, fondant, délicieux. L’omelette (4 chf) était sympathique, spongieux, assez sucré. Le saumon flambé (6 chf) était bon.

Kakinuma, Genève

Le tofu frit (16 chf) était très bon et gourmand. Trois cubes, une panure transclucide, fine et croustillante, il faut vite déguster avant que le croustillant soit ramollis par le bouillon, attention, c’est chaud. Le bouillon était bon et corsé, garni de nori ciselé, du daikon râpé et de petits champignons nameko.

Kakinuma, Genève

Les brochettes de poulet (12 chf) étaient bonnes, bien grillées et tendres. Un classique, servies par deux.

Kakinuma, Genève

Les huîtres panées (30 chf) étaient excellentes. Une portion de sept pièces, servie avec un quartier de citron, de la moutarde japonaise, une sauce tonkatsu ainsi qu’un petit bol de salade. Elles étaient bien frites, une jolie coloration, , une panure croustillante, une bonne odeur et goût iodé. Simple et délicieux.

Kakinuma, Genève

En résumer, le Kakinuma est très bon japonais. Les sushis à la pièce sont très pratiques et les prix sont globalement assez raisonnables. Le choix des entrées et plats est chouette, dommage pour les sashimis qui manquent de choix. 10 ans après mon dernier repas chez eux, la qualité des prestations est toujours aussi bonne, le service est même mieux qu’avant. Cafés offerts, geste sympa qui fait toujours plaisir.

Mes autres repas chez eux : 26 juin 2012, 20 mars 2012

Kakinuma
Rue Henri-Blanvalet 3
1207 Genève
+41 21 735 47 11
www.kakinuma.ch

Crédit photo : foodaholic

Kakinuma, Genève
Kakinuma, Genève

I Sapori, Le Grand-Saconnex

Premier repas chez I Sapori au Grand-Saconnex près de Genève, un restaurant italien situé entre la ville de Genève et son aéroport dans une commune rempli d’ambassades.

L’établissement est plutôt grand avec plus ou moins 3 salles. Un cadre propre, lumineux, assez bruyant. Ils sont ouverts tous les jours, horaires coupés. Il n’est pas aisé de se parquer malgré le parking communal à proximité.

Une carte de mets italiens classique, bien fournie, il y a même des pizzas *luxueuses* à plus de 30 francs.

Exemple de prix :
– salade verte (6 chf)
– vitello tonnato  (28 chf)
– tagliata de boeuf (38 chf)
– Coca-Cola 33 cl. (5 chf)
– café (3.50 chf)

13 janvier 2023.

Vendredi, 12h00, trois personnes, nous avons réservé 15 minutes avant.

Trois personnes en salle, un service rapide et sympathique. La serveuse n’arrêtait pas d’insister en répétant que les poissons du jour étaient extra frais comme si c’était un produit exceptionnel, plutôt rigolo.

Mes amis ont pris les plats du jour : des pâtes (19 chf) et un tartare de boeuf (21 chf) avec frites. Les pâtes avaient l’air bonnes et copieuses, mais le tartare n’était pas assez assaisonné selon mon ami, voire fade.

La Bruschetta, Lausanne

Je me suis laissé tenter par le carpaccio sapori (26 chf) incluant une petite salade.

Une salade qui était bonne, petite, variée, gourmande. Juste ce qu’il faut pour s’ouvrir l’appétit.

Le carpaccio était plutôt bon et garni avec abondance de parmesan et rucola. vinaigre balsamique et quartier de citron. Le carpaccio portait le nom du restaurant, alors je m’attendais à un carpaccio plus personnalisé, mais il était très classique.

La Bruschetta, Lausanne
La Bruschetta, Lausanne
La Bruschetta, Lausanne

Pour résumer, c’est un endroit qui m’a semblé très fréquenté, en même temps, la région est remplie de bureaux et d’ambassades et le nombre de restaurants est restreint. Trouver une place de parking dans le coin n’était pas facile non plus.

2 plats du jour, 1 plat, 3 minérales, 3 cafés : ~90 francs pour 3 personnes

I Sapori
Route de Colovrex 22
1218 Le Grand-Saconnex
+41 22 300 06 86
www.isaporirestaurant.ch

Crédit photo : foodaholic